En premier lieu, nous avons développé ce brevet afin d'éviter que son usage ne nous soit empêché et pour en faire bénéficier des millions de personnes, en offrant une solution permettant de réduire la corruption dans les systèmes de décision, l'un des principaux ennemis de toute démocratie. En second lieu, la France doit encore relever plusieurs défis dans sa transition numérique. Ce retard s'explique en partie par une dépendance excessive à l'égard de certaines grandes entreprises technologiques internationales. Les Français comptent parmi les premiers consommateurs européens de contenu numérique, ce qui les expose à des stratégies commerciales globales, notamment celles des grandes entreprises américaines. En réponse à cela, nous avons développé ce brevet pour mettre en œuvre un numérique protecteur. Il est essentiel de prendre conscience de cette prison à ciel ouvert dans laquelle nous cohabitons par notre seule servitude volontaire.

La santé est notre bien le plus précieux, et pour la présidence de Terradoxa, une économie prospère repose avant tout sur une population en bonne santé. C'est cette conviction qui m'a conduit à rejoindre cette entreprise innovante, qui apporte des solutions numériques visant à faciliter la gestion de l'identité des patients, à garantir la propriété des données de santé et à promouvoir des pratiques respectueuses de la liberté individuelle. En 2021, la crise sanitaire a marqué un tournant important pour notre société, soulevant des débats sur l'équilibre entre santé publique et liberté personnelle. Des millions de citoyens français ont exprimé leurs doutes face à certaines décisions sanitaires, notamment sur l'introduction de nouvelles technologies médicales. Ils ont fait part de leurs préoccupations quant à la rapidité des tests et des validations. Ces positions, bien qu'elles aient été controversées, méritaient un respect et une écoute, dans le cadre d'un débat démocratique et inclusif. Aujourd'hui, en 2024, la France, comme de nombreux autres pays, fait face à des défis économiques et sociaux sans précédent. C'est pourquoi nous devons plus que jamais nous concentrer sur la recherche de solutions innovantes, à la fois dans le domaine de la santé et au-delà, pour garantir un avenir plus équitable et plus prospère pour tous.

Parce que c'est l'objet de notre brevet, il s'agit d'inverser la logique habituelle. Au lieu que des tiers identifient les individus, ce sont les individus eux-mêmes qui prennent le contrôle de leur propre identité numérique, revendiquant ainsi leurs droits naturels. Cette approche permet à chacun de gérer et de maîtriser les données personnelles qui y sont associées. Les utilisateurs peuvent partager leurs informations avec qui ils le souhaitent et retirer ces partages à leur convenance, tout en respectant les engagements contractuels en vigueur. La nationalité peut être considérée comme un contrat citoyen avec un gouvernement. Le gouvernement centralise les données citoyennes en accédant aux données et en s'assurant de leur exactitude.

Nos téléphones mobiles peuvent être des compagnons pratiques et polyvalents, mais aussi des outils de collecte d'informations. Le terme Digital Sociétal fait référence, d'une part, à l'interaction quotidienne des humains avec leurs appareils mobiles et, d'autre part, à la nécessité pour la société de disposer d'informations fiables, sincères et à jour. Toutefois, pour collecter ces données, il est essentiel d'obtenir le consentement éclairé des utilisateurs. Le véritable enjeu est de permettre aux individus de donner ou de révoquer leur consentement à tout moment, tout en ayant une transparence totale sur qui accède à leurs données personnelles et qui, à la suite de leur décision, n'y a plus accès.

Cette expression fait référence à l'identification numérique ou physique qui fournit une garantie élevée quant à l'authenticité de l'identité d'une personne ou d'une entité. Cette notion est souvent utilisée dans le cadre de la sécurité numérique, des transactions électroniques ou des processus nécessitant une vérification précise de l'identité, tels que les services gouvernementaux en ligne ou les transactions financières importantes. Si un simple sondage sur Internet était réalisé avec une identité à forte valeur probante, ce sondage aurait la valeur légale d'un vote ou d'un référendum. Rien n'est plus facilement manipulable qu'un sondage en ligne. On peut facilement voter deux fois avec deux adresses e-mail différentes, par exemple, à tel point que ces outils, qui servaient auparavant de baromètre, sont devenus potentiellement des instruments de propagande et de manipulation.

C'est une identité numérique unique et sécurisée pour chaque individu, servant de clé d'accès à leurs données lorsqu'il est nécessaire de les partager. Le tiers de confiance chargé de faciliter cet échange ne devrait pas être une entité centralisée, telle qu'une autorité étatique unique. Dans un monde numérique en constante évolution, il est essentiel que les citoyens disposent d'un contrôle accru sur leurs données personnelles et leur vie privée. Pour garantir une sécurité maximale tout en respectant les droits fondamentaux, un modèle de gouvernance partagée et transparente, impliquant plusieurs parties prenantes, pourrait être la meilleure approche.

Non, pas du tout, à condition qu'ils restent souverains. Un État souverain a le devoir de protéger son peuple des excès du système financier et de l'influence des élites économiques. Ces dernières voient avec appréhension l'existence d'États de droit capables de conserver le contrôle sur leur politique monétaire, car dans ce cadre, elles seraient contraintes de contribuer davantage à l'effort fiscal. Une critique de la construction européenne pourrait se formuler ainsi : autrefois, les grandes fortunes étaient soumises à l'impôt ; aujourd'hui, elles investissent dans les États européens qui leur versent des intérêts en retour. Ce système peut sembler à la fois efficace et inquiétant, illustrant un processus de dépendance qui affaiblit à terme la souveraineté des nations.

Sans identité, l'Homme perd ses repères essentiels : droits, propriété et interactions. L'identité de chaque individu permet de s'intégrer dans un groupe social et de participer à la vie collective. Terradoxa propose une solution qui assure à chacun une identité reconnue et respectée, garantissant ainsi l'existence légale en tant qu'individu, avec les droits et les valeurs qui y sont associés. Grâce à cette identification, en cas de non-respect des règles communes, l'application de la loi est rendue possible dans un cadre strictement légal et équitable. De plus, cette identité vérifiée par Terradoxa permet de participer à des processus démocratiques, tels que le vote, avec une garantie de transparence et d'intégrité.

1) Une politique forte portée par des responsables nationaux soucieux de préserver la souveraineté de leur pays, comprenant l'importance pour un État de pouvoir maîtriser les mécanismes de sa politique monétaire, 2) des ressources financières appropriées à la taille et aux besoins du pays (par exemple, un montant estimé à 20 millions de francs pour un pays comme la France ou la Suisse), 3) une reconnaissance internationale, notamment auprès d'organisations comme l'UNESCO, en tant que patrimoine culturel immatériel de l'humanité. Ce serait un premier pas significatif...